• Direction générale

    de la Sécurité extérieure

    D.G.S.E

     

    DGSE_logo

     

     


    Placée sous l'autorité du ministre français de la Défense, la DGSE est dirigée depuis le 10 avril 2013 par Bernard Bajolet.La Direction générale de la Sécurité extérieure, couramment connue sous le sigle DGSE, est le service de renseignement extérieur de la France.

    Sa devise serait « Partout où nécessité fait loi », qui exprime l'impératif de la raison d'État ou, selon d'autres sources, « Ad augusta per angusta » (« À des résultats grandioses par des voies étroites »).

    Rôle

    Les missions générales de la DGSE sont formalisées aux articles D 3126-1 à D 3126-4 du Code de la défense, qui disposent notamment que le Service « a pour mission, au profit du gouvernement et en collaboration étroite avec les autres organismes concernés, de rechercher et d'exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d'espionnage dirigées contre les intérêts français afin d'en prévenir les conséquences ».

    Avant le décret du 2 avril 1982 qui a procédé à sa refondation, les missions de ce service étaient remplies par le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage(SDECE).

    Les activités de la DGSE sont diverses :

    • Recherche et recueil du renseignement par de multiples modes :
      • Renseignement d'origine humaine : agents, « honorables correspondants »
      • Renseignement d'origine opérationnelle : copie de documents, piégeage d'un système de communication
      • Renseignement par moyens techniques :
        • Interceptions électromagnétiques : « Frenchelon » et « Programme national de cryptage et décryptement » (PNCD) qui permet d'intercepter les courriels, service fourni sur demande à la police et à la gendarmerie et utilisé dans l'affaire Ilan Halimi
        • Renseignement d'origine image : satellite Helios
        • Surveillance de réseaux informatiques grand public
      • Renseignement d'origine source ouverte
      • Échanges de renseignements entre services, français ou étrangers
    • Exploitation du renseignement
    • Opérations clandestines

    Le contre-espionnage sur le territoire français n’est pas assuré par la DGSE mais par la Direction centrale du renseignement intérieur(DCRI), placée sous l’autorité du ministre de l’Intérieur.

    La DGSE est membre de la communauté française de renseignement.

    Organigramme


    La DGSE comprend les services suivants :

    • la direction de l'administration (DA) ;
    • la direction des opérations (DO) ;
    • la direction du renseignement (DR) ;
    • la direction de la stratégie (DS) ;
    • la direction technique (DT).

    Alliance Base, service de contre-terrorisme mis en place par Jacques Chirac, alors President de la République, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, qui s’occupait d’opérations conjointes avec la CIA et d’autres services étrangers, a été dissous à l'été 2009.

    Directeur général

    0R

     

     

     

     

     

     

    René Imbot a été directeur général de la sécurité extérieure entre 1985 et 1987.

    Le directeur général de la sécurité extérieure a sous son autorité directe:

    • un cabinet,
    • le service de l’inspection générale qui évalue et conseille l'ensemble des structures de la direction générale de la sécurité extérieure ,
    • le service de sécurité,
    • le service des liaisons extérieures, qui gère, coordonne et assure le suivi de l'ensemble des relations de la direction générale de la sécurité extérieure avec ses partenaires .
    • le centre de situation, créé en 2000, chargé de traiter les crises en temps réel. Il a pour but de rassembler le renseignement de toutes sources et permettre au directeur général de diriger la recherche et la production de renseignement.

    Le directeur général de la sécurité extérieure peut être un haut fonctionnaire civil ou militaire.

    « La direction de l'administration est chargée des missions d’administration générale pour l’ensemble des directions et services. » Elle gère le budget, les ressources humaines, l’acquisition et l’entretien des matériels et infrastructures, et les questions juridiques de la DGSE. Elle comprend cinq services :

    Direction de l'administration

    • le service de la gestion des emplois ;
    • le service de l'administration des ressources humaines ;
    • le service de la formation ;
    • le service des finances et du budget ;
    • le service du soutien aux opérations.

    Depuis le mois de juin 2008, le directeur de l'administration est le préfet Pierre Pouëssel, énarque, ancien membre des cabinets de Pierre Joxe à l'Intérieur et à la Défense.

    Direction des opérations

    0T

     

     

     

     

     

    Xavier Bout de Marnhac a été directeur des opérations entre 1999 et 2005.

    « La direction des opérations participe à la recherche du renseignement et est chargée d'effectuer, dans le cadre des attributions fixées par le décret du 2 avril 1982 susvisé, toute action qui sera confiée par le Gouvernement. »

    Elle est née de la volonté de Claude Silberzahn de placer le Service Action dans un ensemble plus vaste qui « outre l'action clandestine, est en charge de l'ensemble de la recherche du renseignement par voie opérationnelle ».

    En l'an 2000, la Direction des opérations comprenait les services suivants :

    • le service Action(SA), chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines.
    • le service Mission (DO SM), chargé de la recherche de renseignement par moyens humains (officiers traitants) dans les zones où la DGSE n’a pas de poste normal
    • le service Assistance (DO ASS), spécialisé de la formation de services spéciaux étrangers
    • le service Opérations (SO), spécialisé dans le vol d’informations étrangères mais sur le territoire français (cambriolage de chambres d'hôtels, surveillance de courrier, ouverture de valise diplomatique, etc.)

    Direction du renseignement

    « La direction du renseignement est chargée de rechercher et d'exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d'espionnage dirigées contre les intérêts français afin d'en prévenir les conséquences, d'assurer les liaisons nécessaires avec les autres services ou organismes concernés et de fournir la synthèse des renseignements dont elle dispose ».

    La direction du renseignement exploite le renseignement de toute origine (humaine, opérationnelle, technique, échange) et supervise la recherche par moyens humains. Elle est considérée comme le cœur de la DGSE, dont elle regroupe environ un tiers des effectifs. De sa création à l’an 2000, elle chapeautait deux services préexistants, le service de Recherche (SR), chargé de la recherche du renseignement, et le Contre-Espionnage (CE). Le SR était organisé par secteurs géographiques (monde arabe, Afrique noire, etc.), thématiques (renseignement militaire) ou opérationnels (avant la création de la DO). Les secteurs géographiques sont sous-divisés en sous-sections d’exploitation, qui s’organisent selon une filière Recherche (gestion du recrutement et de la manipulation des sources) et une filière Exploitation (traitement des informations et production de notes de renseignement).

    Le CE était chargé de la surveillance des services adverses, de détecter en particulier leurs actions contre le SDECE/DGSE, et de contrôler les sources clandestines du SR pour éviter une intoxication. Ces missions comprennent le recrutement de sources humaines spécifiques, notamment d'agents doubles. Le soutien clandestin de services secrets étrangers à des mouvements de guérilla et terroristes a entraîné d’extension des activités du CE au renseignement sur ces mouvements.

    Les officiers-traitants (OT) de la DGSE agissent généralement sous couverture, parfois sous fausse identité, soit en étant affecté à un poste à l’étranger, soit en mission de courte durée. Les postes de la DGSE à l’étranger sont rattachés aux secteurs géographiques du SR pour des raisons administratives et fonctionnelles, mais la direction générale a une prééminence sur eux car ils ont aussi à traiter des questions dépassant le cadre de leur secteur d’appartenance (affaires transcontinentales, transdisciplinaires ou relations avec des services étrangers). Ces postes sont généralement situés dans les ambassades françaises.

    En 2000, la direction du renseignement est réorganisée pour donner naissance à deux services, le service de renseignement politique (SRP), avec à sa tête Vincent Nibourel, et le service de renseignement de sécurité (SRS), spécialisé en matière de contre-criminalité, de contre-espionnage, de contre-prolifération d'armes de destruction massive et de contre-terrorisme et dont le premier directeur fut Alain Chouet  jusqu’en 2002. Dans cette nouvelle organisation, les postes à l’étranger reçoivent des instructions des deux services. Un département central de la recherche (DCR) a ensuite été créé pour diriger les postes.

    La DR comprend également un service des relations extérieures (SEREX), renommé par la suite en service des liaisons, chargé d’entretenir les relations avec les services de renseignement étrangers.

    La DGSE est néanmoins réorganisée en 2012. Le directeur du renseignement est désormais assisté d'un adjoint qui le supplée en cas d'absence ou d'empêchement, d'un adjoint en charge de la recherche et d'un adjoint en charge de l'exploitation. La direction du renseignement se compose de quatre services :

    • le service de contre-prolifération ;
    • le service de contre-terrorisme ;
    • le service de sécurité économique ;
    • le service de renseignement géopolitique et de contre-espionnage. Le service des relations extérieures est rattaché à la Direction générale.

    Direction de la stratégie

    « La direction de la stratégie est chargée de la transmission et du suivi des orientations recueillies auprès des interlocuteurs officiels de la direction générale de la sécurité extérieure ainsi que de l'animation et de l'évaluation de la production de renseignements. » Les directeurs de la stratégie proviennent toujours du ministère des affaires étrangères (ministres plénipotentiaires de 2e classe).

    Direction technique

    « La direction technique est chargée de rechercher et d’exploiter les renseignements d’origine technique, de proposer et de mettre en œuvre les orientations de la direction générale de la sécurité extérieure dans les domaines techniques. »

    En 2000, elle était organisée en trois services :

    • le service technique de recherche (STR) : renseignement d’origine électromagnétique, pénétration informatique, cryptage et décryptage
    • le service informatique et communication (SIC)
    • le service technique d'appui (STA) : soutien technique, techniques spéciales, renseignement d’origine image, gestion des marchés publics de la DT.

    Même si sa mission est restée la même, l'organisation de la direction technique a évolué. Depuis 2012, la direction technique se compose ainsi de trois "divisions":

    • la division des systèmes d'information et du support ;
    • la division des technologies du renseignement ;
    • la division production et actions de renseignement technique.

    Installations

    z-dgse-98871

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le siège de la DGSE, officiellement désigné Centre administratif des Tourelles (CAT), se trouve en partie à Paris, au 141 boulevard Mortier, à proximité de la Porte des Lilas, dans le 20e arrondissement(48° 52′ 28″ N 2° 24′ 25″ E / 48.87444, 2.40694 / 48.87444; 2.40694). Ses membres la désigneraient sous le nom de « centrale » ou de « Mortier » en raison de son adresse. Les médias l'ont surnommé la « piscine » en raison de sa proximité avec la piscine des Tourelles, tandis que le surnom donné à l'intérieur de la DGSE serait plutôt la « boîte ».

    Google-Fort1

     

     

     

     

     

     

     

    Le quartier général du service Action est au fort de Noisy à Romainville. L'unité qui regroupe le personnel militaire affecté à la DGSE est le 44e régiment d'infanterie.

    0Y

     

     

     

     

     

    Site d'écoute électronique de Domme, dans le Périgord.

    Le projet « Fort 2000 », lancé en 1992, devait permettre de déménager le siège de la DGSE au fort de Noisy.
    Cependant, celui-ci a été perturbé par le manque de budget : les crédits d’études n’ont été débloqués dans le budget de la défense qu’en 1994, suivis des crédits des premiers travaux en 1995.
    Le financement du projet a été revu à la baisse, passant de 2 milliards de francs à 1 milliard, et a subi l'opposition des riverains du fort qui craignaient les nuisances sonores dues à l’augmentation des survols d’hélicoptères, ainsi que de mouvements écologiques car la zone du fort abrite une espèce rare de crapauds.
    Finalement, le projet a été abandonné en mai 1996. À la place, la DGSE a reçu des locaux supplémentaires, ceux occupés auparavant par une unité du train en face de la « Piscine ». Le boulevard Mortier où se situent les principaux locaux administratifs étant dangereux pour les piétons, un tunnel a été mis en place pour faciliter les mouvements du personnel d'un côté à l'autre du boulevard.

    La DGSE partage en outre certaines de ses bases vouées au électromagnétique (ROEM) avec le Service fédéral de renseignement renseignementd'origine allemand(Bundesnachrichtendienst ou BND), comme à Kourou, en Guyane française, et gère certaines de ses installations avec la Direction du renseignement militaire(DRM).

    Personnel

    En 2011, la DGSE employait 4 747 agents à temps plein. Ces effectifs se répartissaient ainsi :

    • 1 259 personnels de catégorie A,
    • 855 personnels de catégorie B,
    • 1 308 personnels de catégorie C,
    • 558 officiers,
    • 750 sous-officiers,
    • 17 militaires du rang.

    Les fonctionnaires de la DGSE relèvent d'un statut autonome fixé par voie réglementaire (décret du 1er septembre 1954) non publié au Journal officiel . Ce statut interdit notamment le droit de grève et de se syndiquer. Le personnel est néanmoins représenté par des élus : le Centre d'entraide social et culturel, qui publie le journal interne, L'échauguette et le Comité du dialogue social.

    Le personnel est en majorité de sexe masculin: en 2012, les femmes ne représentent que 20% des effectifs et sont peu présentes aux postes de management. De même, la diversité est faible: peu de personnes originaires de l'immigration récente sont recrutées. Enfin, si les militaires constituent 30% de l'effectif (hors service action), ils constituent environ 50% de la hiérarchie.

    La DGSE bénéficie également d’un réseau de correspondants bénévoles, basés en France ou à l’étranger, appelés « honorables correspondants ». De 2009 à 2014, la loi de programmation militaire établie d'après le Livre blanc sur la Défense prévoit l'augmentation des effectifs de la DGSE de près de 690 personnes. Cela porterait les effectifs de la DGSE à 4375 hommes et femmes, hors Direction des opérations.

    La DGSE recrute son personnel civil titulaire selon des modalités semblables à celles du reste de la fonction publique française. Cependant, tout candidat est testé sur son habilitation à connaître des informations classifiées. Une série d'enquêtes est menée sur chaque candidat et son environnement pour identifier le potentiel de fuite d'information de chaque future recrue. Outre les concours de la fonction publique, le recrutement de la DGSE soumet plusieurs autres tests aux candidats avant de peut-être les embaucher : épreuves théoriques, journée entière de tests et d'entretiens psychologiques, longue enquête de moralité. L'habilitation secret défense est délivrée aux candidats ayant passé ces tests avec succès.

    Budget

    Le budget est voté chaque année par le Parlement. Il est constitué d'une part du budget de la Défense de l'État français et de crédits provenant des fonds spéciaux des services du Premier Ministre. Ces fonds spéciaux servent à financer certaines activités opérationnelles. Il est à noter que la DGSE est le principal service destinataire des fonds spéciaux (de l'ordre de 80 %, soit une quarantaine de millions d'euros).

    Derniers budgets connus :

    • 1992 : 1 milliard de francs ;
    • 1997 : 1,36 milliard de francs ;
    • 1998 : 1,29 milliard de francs ;
    • 2007 : 445,4 millions d'euros, plus 36,2 millions d'euros de fonds spéciaux
    • 2008 : 440,2 millions d'euros, plus 37 millions d'euros de fonds spéciaux.
    • 2009 : 480,4 millions d'euros, plus 42,6 millions d'euros de fonds spéciaux.
    • 2010 : 527,4 millions d'euros, plus environ 47 millions d'euros de fonds spéciaux.
    • 2011 : 559 millions d'euros, plus 53,9 millions d'euros de fonds spéciaux.
    • 2012 : 578,5 millions d'euros, plus 53,9 millions d'euros de fonds spéciaux.

    Selon Claude Silberzahn, un des anciens directeurs, le budget se répartirait comme suit : 25 % renseignement militaire, 25 % renseignement économique et 50 % renseignement diplomatique.

    Additionnellement, des officiers de la DGSE se voient chargés de la gestion d'un patrimoine clandestin constitué au lendemain de la Première Guerre mondiale par une partie des  indemnités que l'Allemagne a versées à la France en application du Traité de Versailles de 1919. Ce patrimoine n'est en principe pas destiné à financer des opérations de la DGSE, mais à rester disponible pour pouvoir assurer la continuité de l'État en cas de crise, notamment financer un gouvernement en exil si le territoire national venait à être mis en danger, par exemple en cas d'invasion.

    Opérations connues

    greenpeace-rainbow-warrior_01c200fa

    • Exploitation du réseau « Nicobar » qui permit à la France de vendre 43 Mirage 2000 à l'Inde et de connaître la composition du blindage du char T-72 soviétique ;
    • Le 10 juillet 1985, Affaire du Rainbow Warrior : opération « Satanic », une équipe de la DGSE fait exploser dans le port d’Auckland le Rainbow Warrior, bateau de l'organisation Greenpeace, faisant une victime, le photographe néerlandais d'origine portugaise Fernando Pereira ;
    • Dans les années 1980, la DGSE s'est lancée dans l'espionnage économique. En 1989, le FBI a démantelé un réseau d'agents infiltrés dans des compagnies américaines dont IBM, Texas Instrumentset Corning Glass Works ;
    • Après leur libération le 21 décembre 2004, les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot sont « débriefés » au camp de Cercottes ; 
    • Le 12 juin 2005, la DGSE libère Florence Aubenas en Irak
    • Le 14 juillet 2009, deux « conseillers » de la DGSE en mission à Mogadiscio, où ils apportaient une aide en matière de sécurité au gouvernement somalien, sont enlevés dans leur hôtel par des shebab, miliciens islamistes. Après un mois et demi de détention, l'un des deux hommes, affirmant se nommer Marc Aubrière, réussit à s'évader dans des circonstances obscures.
    • Le 12 janvier 2013, la DGSE lance une opération en Somalie pour libérer son agent Denis Allex, détenu en captivité depuis 3 ans. L'opération se solde par un échec : l'otage français n'a pas été libéré, il aurait perdu la vie au cours de l'opération, et deux militaires du Service Action de la DGSE ont trouvé la mort lors de l’assaut. 17 militants Shebab ont également été tués dans l'action.

    greenpeace-rainbow-warrior_01c200fa

    Le Raimbow Warrior

    Agents connus ou supposés

    • Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE ;
    • Claude Faure, au SDECE à partir de 1972, puis à la DGSE jusqu'en 2002. Auteur de Aux Services de la République, du BCRA à la DGSE.
    • Philippe de Dieuleveult disparu en 1985 lors de l’expédition Africa-Raft au Zaïre. Les conditions de sa disparition n’ont toujours pas été élucidées. On évoque que le fait d'avoir été un agent de la DGSE aurait été le motif de son assassinat (Philippe de Dieuleveult était capitaine au 89e bataillon des services, le corps support de la DGSE) ;
    • Pierre Galopin, négociateur dans l'affaire de la prise d'otage de l'ethnologue Françoise Claustre ;
    • Alain Juillet, ancien directeur du renseignement de la DGSE (2002-2003) ;
    • Colonel Alain Mafart(alias Alain Turenge), ayant participé à l'affaire du Rainbow Warrior ;
    • Xavier Maniguet, médecin-colonel, ayant participé à l'affaire du Rainbow Warrior ;
    • Pierre Martinet dit Florent (alias Vincent Cassard et Vincent Seyriès), auteur de Un agent sort de l'ombre ;
    • Lieutenant-colonel Bernard Nut, chef de mission, mort en service à Rigaud, le 15 février 1983 ;
    • Lieutenant-colonel Dominique Prieur (alias Sophie Turenge), ayant participé à l'affaire du Rainbow Warrior ;
    • Thierry Lorho, mise en examen en 2009 dans l'affaire de l’espionnage EDF/Greenpeace ;
    • Gérard Royal, frère de Ségolène Royal, ayant participé à l'affaire du Rainbow Warrior ;
    • Pierre Siramy, pseudonyme de Maurice Dufresse, auteur de 25 ans dans les services secrets
    • Hervé Jaubert, ex-officier du Contre-Espionnage de la DGSE, constructeur de mini sous-marins, auteur de Escape from Dubai (978-0929915944) livre mémoire écrit après qu'il s'est évadé de Dubaï.
    • Sergent Didier Bertrand, tué lors de la guerre d'Irak le 21 novembre 2006 lors de l'attaque d'un véhicule diplomatique par une milice.
    • Patrick Denaud, journaliste, agent de la DGSE de 1994 à 2002
    • Éric Filiol, cryptanalyste militaire au 44e régiment d'infanterie de 1991 à 1997.

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique